Dans la rue principale de Dubrovnik au petit matin
Pour éviter que Dubrovnik ne ressemble à Venise qui souffre du nombre trop important de touristes (qui font fuir les autochtones, pose des problèmes écologiques, transforme la ville en attraction géante), la ville croate se pose des questions. L’Unesco a demandé l’instauration d’un quota.
Moins radicale comme solution, limiter le nombre de bateaux de croisières pourrait déjà être un premier pas. Mais le fond du problème repose sur l’équation financière qui tire le pays vers le haut. Le tourisme représente une partie importante du PIB et c’est un des secteurs qui tire toute l’économie vers le haut. Quel est donc le juste milieu entre croissance et préservation de la qualité de vie ?
L’Union Européenne est pointée du doigt (moins de contrôles aux frontières et plus de facilité à voyager), mais aussi les nouveaux moyens d’hébergements (AirBnb) ou encore les vols lowcost (qui marchent très forts pour les vacances mais aussi les escapades de weeekend).
Dans l’émission « Avenue de l’Europe », le patron du « guide du routard » est interviewé pendant une quinzaine de minutes sur le sujet. La vidéo est à voir ici.
